Biographies Journée 2

Biographie des intervenants

6 juin 2014

 
  
Patrick Féron :

Patrick FERON, doctorant Heritechs, CNRS / LAMOP (UMR8589), Université  Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Musée de la Marine, Équipe d’Histoire des Techniques de l’IHMC (UMR 8066), CNRS / Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.  Patrick.Feron@malix.univ-paris1.fr

Patrick Féron est originaire de la côte Ouest du Cotentin, la baie du Mont Saint-Michel, creuset des plus fortes marées d’Europe, l’archipel des îles Chausey et les îles Anglo-normandes en bordent l’espace nautique. Son cheminement s’inscrit entre un pôle professionnel de capitaine de marine marchande et un pôle culturel ultramarin. Ainsi réalise-t-il nombre de navigations qui mettent en regard l’extinction de la chasse au cachalot aux Açores et l’observation des derniers chasseurs baleiniers de l’île Lamalera, en Indonésie. Côtoyer les cultures et les techniques de construction, de pêche, de navigation, du Pacifique et de l’Océan Indien élargit sa connaissance de pratiques vernaculaires. Son intérêt dévolu aux traditions d’architecture nautique l’invite à enrichir ses compétences aux Ateliers de l’Enfer, à Douarnenez, où construire une yole de Bantry, le plus ancien bateau patrimonial français existant (1796), procure l’expérience de la charpente traditionnelle à franc bord et à clin. L’acquis technique éclaire le champ d’un savoir-faire qui accompagne la suite de son parcours. Si la navigation océanique à bord de voiliers, d’un trois-mâts goélette prédomine dans la fréquentation des trois océans, de régions boréales et australes, c’est du cœur de l’Afrique Équatoriale qu’il rapporte la thèse conduite à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne sous la direction de Monsieur Éric Rieth, directeur de recherche, CNRS/LAMOP, Musée de la Marine : « Traditions d’architecture nautique et hybridations, en Afrique de l’Ouest et Centrale, (XIXe-XXIe) ». Le sujet explore une « rencontre » entre trois grandes traditions d’architecture nautique : monoxyle, sur sole et sur quille. Ethnographie nautique, Histoire des techniques, circulation des savoir-faire et métissages tissent une trame nautique inédite et matérialisent de nouveaux espaces de conservation, matériels et immatériels, de traditions pérennes et de traditions disparues.


Contre-amiral François Bellec :

Francois Bellec, contre-amiral, membre et ancien président de l'Académie de marine, ancien directeur du Musée national de la marine, membre de la Commission nationale des monuments historiques et de la Commission scientifique  nationale des collections
François Bellec a réorienté en 1980 une carrière d'officier de marine vers la direction du Muisée national de la marine et un engagement pour la préservation de notre héritage maritime. Conférencier, conseiller et expert, il a écrit une vingtaine de livres et a contribué à de nombreuses publications internationales. Il a reçu en 2013 le Grand prix des Sciences de la mer Albert 1er de Monaco pour les sciences humaines.


David Djaoui :

David Djaoui, archéologue territorial au Musée départemental de l'Arles antique, céramologue. Co-directeur de la fouille et du levage du challang gallo-romain Arles-Rhône 3 en 2011 et responsable scientifique de l'ensemble de l'étude matériel du dépotoir portuaire. Commissaire de l'exposition Mark DION en 2009 (installation artistique autour de la démarche archéologique et muséographique) et de l'expsoition archéologique Arles Rhône 3, enquête pluriodisciplinaire, en 2011.

Commissariat d’exposition au Musée départemental Arles antique :
- 2009, Le département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines du musée départemental de l’Arles antique (Installation de Mark Dion)
- 2011, le chaland gallo-romain d’Arles-Rhône 3, Enquête pluridisciplinaire
Catalogue d’exposition :
-Djaoui D. 2009, Carnet de Fouille/Lab Book, Mark Dion/Luc Long, Actes Sud, Arles
-Djaoui D., Greck S.,  Marlier S. 2011, Le chaland gallo-romain Arles-Rhône 3, Enquête pluridisciplinaire, Actes Sud, Arles

Articles 2014
-Djaoui D., Piques G., Botte E. 2014, Nouvelles découvertes sur les pots dits « à garum » du Latium, d’après les découvertes subaquatiques du Rhône (Arles) dans BIAMA, CCJ/CNRS.
-Djaoui D 2014 , Découverte d’un pot mentionnant la société des DD Caecilii dans un contexte portuaire situé entre 50- 140 apr. J.-C. (découverte subaquatique à Arles, Bouches-du-Rhône, France), colloque international de la SECAH, Ex Officina Hispana, Braga (Portugal), 3-6 avril 2013.
-Djaoui D Tran N., à paraitre 2014 ou 2015, Une cruche du port d’Arles et l’usage d’échantillons dans le commerce de vin romain dans MEFRA.
-Djaoui D 2014 , Le mythe du « laccatvm »: étude à partir d’un titulus inédit sur une Dressel 14 lusitanienne, dans colloque international sur les amphores de Lusitanie, 10-13 octobre, Troià, Portugal.
-Djaoui D, Quaresma J.C. 2014 , Les amphores lusitaniennes à Arles, dans colloque international sur les amphores de Lusitanie, 10-13 octobre, Troià, Portugal.


Henri Bernard-Maugiron :

Restaurateur-conservateur. Diplômé du master en conservation-restauration des biens culturels. Paris I Panthéon-Sorbonne.
Restaurateur à l’atelier ARC-Nucléart de Grenoble, spécialisé dans le traitement et la restauration des objets archéologiques organiques gorgés d’eau.
Responsable des chantiers de restauration des épaves antiques du musée d’histoire de la ville de Marseille, du chaland gallo-romain AR3 du musée de l’Arles antique, du traitement des deux horiae de Toulon ainsi que des embarcations médiévales et moderne (épave la couzonnaire) du parc de stationnement de Lyon St Georges.
Responsable des chantiers de prélèvement des épaves antiques de Pise, Lyon St Georges et Antibes


Marie-Laure Griffaton

Diplômée de muséologie de l’Ecole du Louvre (à l’issue d’un cursus consacré au patrimoine industriel et au patrimoine ethnographique français) et de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales de Paris, après avoir rédigé un mémoire sur le
patrimoine industriel du XIe arrondissement de Paris, Marie-Laure Griffaton est entrée à l’Ecole du patrimoine en 1990 (option Musée scientifiques et techniques).
Elle a exercé pendant dix ans les fonctions de conservatrice puis directrice du Musée français du chemin de fer de Mulhouse, avant de rejoindre Dunkerque où elle est depuis 2000 conservatrice du Musée portuaire.


Florent Laroche :

Florent Laroche est maître de conférences à l’Ecole Centrale de Nantes (F) ; il travaille comme chercheur au sein du laboratoire IRCCyN (Institut de Recherche en Communication et Cybernétique de Nantes – UMR CNRS 6597). D’abord ingénieur, il est ensuite devenu docteur en 2007. Sa thèse porte sur l’application des outils des sciences pour l’ingénieur au patrimoine industriel ( http://florentlaroche.com), pour lequel il a obtenu le prix de thèse du quotidien Le Monde. Il œuvre actuellement sur la transposition des connaissances du passé en connaissances contemporaines, lisibles et compréhensibles dans le système sociotechnique présent. L’un des objectifs de ces recherches est de pouvoir réutiliser le patrimoine technique comme base d’innovation. « Pourquoi réinventer la roue ? » : pour lui, toute forme d’artisanat ou de mode de fonctionnement proto-industriel peut être pré-texte à une nouvelle forme de fonctionne pour nos entreprises de demain. En ce sens, la Compagnie La Machine est sûrement à l’aube d’une nouvelle forme d’activité économique.

Florent Laroche, LUNAM, IRCCyN, Ecole Centrale, 1 rue de la Noë, 44000 NANTES (F) ; florent.laroche@irccyn.ec-nantes.fr


Christine Jablonski :

Conservatrice des monuments historiques, conservation régionale des monuments historiques, DRAC Bretagne, chargée de la Bretagne Nord et des bateaux classés.
Conservatrice en chef du patrimoine
Membre permanent du Centre Michel de Bouärd, centre de recherche archéologique et historique anciennes et médiévales (UMR 6273 CNRS/UCBN)
Membre de l'équipe AVEL (archives virtuelles en ligne), lauréat de l'appel à projet « services culturels numériques innovants du Ministère de la Culture( 2012) pour le relevé des bateaux classés monuments historiques et leur diffusion sous forme de BIM, avec Laurent Lescop (ENSA Nantes, laboratoire GERSA), Michel Cardin (conservateur délégué des antiquités et objets d'art pour les bateaux classés), Jean-Louis Dauga (expert patrimoine maritime du ministère de la Culture), Didier Morel (Morel Mapping worshop).

Equipe AVEL:

Laurent Lescop, architecte, docteur en sciences, enseignant et chercheur  en sciences et techniques pour l’architecte à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Nantes, il a porté le projet et dirigé la partie informatique et technique de la modélisation et coordonné les différentes sources du projet.

Clémence Gabilleau, étudiante en Master 2 à l’ENSA Nantes a réalisé les modélisations 3D et a documenté l’ensemble des démarches techniques.

Christine Jablonski, est conservateur du patrimoine, conservateur des monuments historiques, CRMH, DRAC Bretagne ; membre permanent du Centre Michel de Boüard, CRAHAM, UMR (UCBN/CNRS) 6273, Université de Caen Basse-Normandie et membre titulaire de la commission nationale des monuments historiques.

Michel Cardin, architecte des bâtiments de France, conservateur délégué des antiquités et objets d'art pour les bateaux classés.

Christine Jablonski et Michel Cardin, ont dressé le catalogue des bateaux concernés et ont défini les plages durant lesquelles ceux-ci ont été accessibles pour être scannés, photographiés et diagnostiqués, en accord avec les propriétaires et/ou gestionnaires. Ils ont assemblé les documents historiques et construits la problématique de conservation et de diffusion auprès du grand public.

Jean-Louis Dauga, a été chef de base et formateur CN Glénans à Concarneau entre 1972 et 1979, puis responsable de formation technologique à l’Institut Nautique de Bretagne entre 1979 et 1986, puis directeur-formateur centre de formation Ateliers de l'Enfer, Douarnenez entre 1986 et 94.  Il a fait ensuite de l’assistance à maitrise d'ouvrage en restauration à Douarnenez de 1998 à 2000 de l’ingénierie de conservation-restauration au Port-Musée de Douarnenez entre 2002 et 2011.
Sa qualité d’expert pour les bateaux classés a ouvert au projet les dimensions constructives des bateaux tout autant que la mémoire des métiers et des pratiques.

Didier et Marie Morel,Architectes, ils sont gérants de MOREL MAPPING WORKSHOP sarl, à Vannes. La société réalise le relevé laser et la constitution du nuage de points et participe à la réalisation des plans techniques des navires. Le nuage de point sert dès lors de référence pour les opérations futures : la comparaison avec le premier relevé et un relevé ultérieur est déterminant pour la surveillance de la dégradation du navire.


Patrice Pomey :

Directeur de recherche émérite au CNRS,
Centre Camille Jullian (UMR AMU, CNRS, MCC, INRAP)
Ancien membre de l’Ecole française de Rome, titulaire d’une HDR, il est spécialiste d’archéologie navale et maritime et du patrimoine maritime et sous-marin.
Il a été directeur des recherches archéologiques sous-marines (DRASM, MCC) (1984-1991) et directeur du Centre Camille Jullian (UMR AMU, CNRS, MCC, INRAP) (2000-2007). Parmi de nombreuses responsabilités scientifique et administrative, il a été membre du Conseil Supérieure de la Recherche Archéologique (MCC, 1994-1999) et membre du Conseil d'Administration du Musée national de la Marine (2000-2003).
Dans ses activités archéologiques de terrain, il a notamment co-dirigé les fouilles sous-marines de la Madrague de Giens (1972-1981) et le programme sur la dendrochronologie des épaves antiques de Méditerranée (1992-2000), et dirigé les fouilles et l’étude des épaves antiques de la place Jules-Verne à Marseille (1993-2000) et le projet « Prôtis » (1997-2013). Il a participé à la mission archéologique d’Ayn Soukhna en Egypte (IFAO, 2007-2012) pour l’étude des vestiges de bateaux pharaoniques du Moyen Empire.
Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur l’archéologie sous-marine et l’archéologie navale antique et de nombreux articles scientifiques.
 
Bénédicte Rolland-Villemot :

Conservateur  du patrimoine, institut national du patrimoine, chargée de mission auprès du directeur du département des restaurateurs
Chercheur au Centre d’Histoire des techniques, IHMC,(Institut d’histoire Moderne et Contemporaine)  Université de Sorbonne-Paris I
Adresse mel : benedicte.rolland-villemot@inp.fr

Depuis 1988, Bénédicte Rolland-villemot est conservateur du patrimoine au ministère de la culture dans divers musées et institutions ; elle s’est  toujours intéressée dans sa carrière de conservateur à l'histoire matérielle des biens culturels et leur technique de fabrication et à la mise en œuvre des matériaux.
Elle a orienté sa carrière de conservateur dans trois domaines : la connaissance des collections ethnographiques, scientifiques, techniques et industrielles, les pratiques de la conservation-restauration de ces collections, l’enseignement dans ces domaines.
Mme Rolland-villemot a travaillé dans des musées nationaux : le mucem (musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée) ancien musée national des arts et traditions populaires où elle a mis en place le chantier des collections. Dans le cadre du chantier des collections, elle a réfléchi à la prise en compte de l'histoire des techniques pour mieux documenter et enrichir la connaissance autour des collections dans une remise en contexte dans une perspective d’anthropologie de la culture et de l'histoire des techniques.
Au palais national de Compiègne, à travers la richesse de ses collections, elle a mené une réflexion sur la politique industrielle du second Empire et l'industrialisation et la mécanisation. Au centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF), la rencontre entre les sciences exactes, les sciences humaines, l’archéométrie, elle a mené une réflexion sur l'histoire matérielle des collections en lien avec l'histoire des techniques.
Parallèlement à ses activités de conservateur du patrimoine, elle mène des activités d'enseignement dans plusieurs institutions ou universités. Tout d'abord à l'Ecole du Louvre ; depuis les années 2000, elle enseigne dans le cadre d'un cours de Spécialité consacré au patrimoine industriel dans le premier cycle de cette Ecole ; Ce cours organisé sur 3ans propose à des étudiants du premier cycle de réfléchir sur un thème autour de l'histoire des techniques (les matériaux, un domaine de l'industrie) En deuxième cycle de l'Ecole du Louvre, elle anime depuis 1992 un séminaire de 18h.
A l'institut national du patrimoine,  Bénédicte Rolland-villemot enseigne en formation permanente, en formation initiale particulièrement au sein du département des restaurateurs où dans le cadre d'un séminaire consacré aux objets composites, elle donne un cours d'histoire des techniques à des étudiants en restauration en quatrième année.


Nicla Buonasorte :

Chercheur et Conservateur du Musée Naval Pegli de Gênes
Période Médiévale

Nicla Buonasorte est née à Gênes en 1969, elle est licenciée en Sciences Politiques avec mention d’honneur à l’Université de Gênes, est détentrice d’un doctorat en Histoire sociale et religieuse à l’Université Catholique de Milan et est titulaire d’un diplôme d’Archives, de Paléographie latine et de Diplomatie, décerné par les Archives d’Etat de Gênes.
Pendant de nombreuses années elle a pu mener à bien ses recherches grâce à des bourses d’étude et de recherche. Elle s’est intéressée à l’Histoire de l’Eglise au XX siècle et la rédaction des biographies des principaux ecclésiastiques de l’époque tels que l’archevêque Giacomo Lercaro et Giuseppe Siri. Pour ce faire, elle a utilisé leurs archives et documents personnels, les ordres de mission dans les colonies africaines, des écrits du traditionalisme catholique et du concile du Vatican II.
Elle a donné des cours de didactique de l’Histoire et d’Histoire contemporaine à l’Université de Modena et Reggio Emilia.
Depuis 19992, elle travaille pour la Mairie de Gênes où, depuis 2006, elle est curatrice du ‘Museo Navale di Genova Pegli’. Elle fait également partie de l’équipe scientifique de l’Institution des Musées de la Mer et de la Navigation de Gênes où elle s’est occupée de la création du pavillon MEM (Mémoire et Migrations) du Musée.

BIBLIOGRAPHIE

Parmi ses publications on retrouve :
• Tra Roma e Lefebvre. Il tradizionalismo cattolico italiano e il concilio Vaticano II, Roma 2003
• Siri. Tradizione e Novecento, Bologna 2006
• Araldo del Vangelo. Studi sull’episcopato e sull’archivio di Giacomo Lercaro a Bologna, 1952-1968, (éd.) Bologna 2004
• Vittorio Emanuele Orlando, Memorie dall’Italia ferita. Diario 1943-1944, (éd.) Roma 2011
• La società italiana di fronte all'emigrazione all'epoca di Ellis Island (1892-1914), in Da Genovaa Ellis Island (1892-1914), a cura di P. Campodonico, Genova 2008.

Kélig-Yann Cotto :

Universitaire (Ecole du Louvre et Paris I Pantheon sorbonne), Kélig-Yann Cotto a travaillé depuis 1997 comme archéologue successivement au Proche-Orient (Liban, Syrie, Sultanat d'Oman) pour l'IFAPO et les affaires étrangères, puis en France à l'INRAP, et enfin comme conservateur au service du patrimoine de la ville de Fréjus, toujours sur des contextes portuaires. Il a pris la direction du Port-musée de Douarnenez, établissement labellisé Musée de France, en 2009. Celui-ci comporte de vastes espaces d'expositions (2800 m²), une collection de référence nationale (250 bateaux, mais aussi 5000 objets et 70 000 photographies), des équipements portuaires permettant la visite de cinq navires visitables de la cale au pont, de vastes réserves.


Claude Sintès :

Claude Sintes est conservateur en chef du patrimoine, directeur du Musée départemental Arles antique,ancien membre du Conseil National de la Recherche Archéologique, chercheur associé au Centre Camille Jullian (CNRS). De 1986 à 2003, il a fait partie de la Mission archéologique française de Libye où il a été chargé plus spécialement de la fouille sous-marine du port d’Apollonia de Cyrénaïque et de sa restitution architecturale. Il a publié, seul ou en collaboration, de nombreux articles et ouvrages sur Arles (dont Arles antique, Editions Monum ; Evaluation du patrimoine archéologique d’Arles, Editions du ministère de la Culture), sur l’Afrique (Algérie romaine chez Edisud ; Algérie antique, Editions du Mdaa ; Libye antique dans la collection Découvertes Gallimard ; Lybie, un rêve de marbre, aux Editions Imprimerie Nationale…). Il a aussi proposé une anthologie de textes sur la marine antique : Sur la mer violette, aux éditions des Belles Lettres et travaille actuellement à un essai sur la piraterie dans l’antiquité pour la collection Realia.


Ambroise Lassalle :

Après des études supérieures en lettres classiques, histoire et archéologique des mondes antiques, Ambroise Lassalle est titulaire en 2005 du diplôme de conservateur du patrimoine option musée (Institut National du Patrimoine). Il travaille quelques mois comme chargé des collections antiques du Musée départemental des Antiquités de Rouen, avant de prendre la direction du Musée de la bande dessinée d’Angoulême. Il y assure le suivi du projet de rénovation jusqu’à la réouverture du musée en juin 2009. Il est depuis 2010 responsable du projet du nouveau musée archéologique de Narbonne : ce nouveau musée porté par la Région Languedoc-Roussillon est destiné à revaloriser le patrimoine antique de Narbonne, et à accueillir des espaces de recherche et restauration de mobiliers archéologiques.


Bertrand Guillet :

1993- 2011 : Directeur adjoint du musée d’histoire de Nantes dans la cadre de la rénovation du monument et de la création du musée d’histoire de Nantes ouvert en 2007. Bertrand Guillet a désormais la fonction de directeur et ce depuis 2011.






 
Liste incomplète



 



 


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